Je l'aimais à demis mots, à demis c½ur, je l'aimais à moitié en somme. Je l'aimais égoïstement, je le faisais pour moi, pour ne pas être seul, pour ne pas passé mes soirées devant mon écran plasma à regardé un navet, comme une imbécile. Pour ne pas vivre seul. Je faisais semblant de sourie, de rire, de jouir parfois. J'avais appris à écrire ton nom à coté du mien, à me dire qu'a présent ce serait aussi le mien. J'avais appris à renoncé à mes rêves, pour jouer la parfaite petite amie écervelé, qui sourie sans ce poser de question. Tout ça pour le paraître, c'est affligeant de bêtise. Le pire c'est que je serais resté, si tu me l'avais demandé. Je me serais habituer à ces sourire forcé, à ces je t'aime dénuer de sentiment, et cette alliance... Mais sur que jamais je ne t'aurais aimais, je n'aurais pas sue, et je n'aurais pas voulus. A force j'aurais eue mal. L'alliance m'aurais enchaîné a toi, à ta vie, à tes multiples conquêtes, a tes orgies. Ce n'est pas possible. C'est affligeant. Je préfère te le dire, je sais bien, que toi ça te fait sourire, même rire, mais moi je suis lassé de ce jeux. Je rie plus. Ai-je au moins rie un jour ? Seul ta bêtise affligeante ma fait sourire. Arrête de me regarder, de me retenir, ça ne marche plus. Porte plutôt mes valises jusqu'au taxi jaune, moi je prend le parapluie, je voudrais pas être mouillé, tu pourrais croire que je pleur. Je te quitte, ne pleur donc pas, tu n'attendais que ça. T'inquiète pas, je trouverais mieux, je serais même heureuse.
dreadful, Posté le samedi 09 juin 2007 06:55
merci beaucou :]